Norman Manley

Nom, Prénom : Manley Norman
Nationalité : Jamaicaine
Âge : 19 ans
Taille : 1m68
Poids : 56Kg
Main utilisée: Gaucher
Surfaces préférées : Gazon, Indoor, Dur, terre battue.

Norman est né à Treasure Beach, une petite ville située sur la côte sud jamaicaine. Il a grandit dans une exploitation agricole, au milieu de ses 7 frères et soeurs.

Son enfance s'est écoulée paisiblement dans une atmosphère calme et sereine. Après l'école quand il n'aidait pas son père à la ferme, Norman passait des heures à jouer au ballon avec ses frères Bunny, Nesta et Mickael. Plus tard alors qu'il fesait son entrée au collège, le jeune homme se passionna pour la course, comme la plupart des jamaicains de son âge.

Comme tout le monde, il était émerveillé par les performances sportives de ces compatriotes et rêvait d'un jour pouvoir faire comme eux. Il s'entraîna donc s'en relache chaque jour, cavalant dans les montagnes environnantes et sur les plages des allentours.

Ce fut à 17 ans que Norman connu son premier coup d'éclat. C'était une belle matinée de printemps, le stade nationnal de Kingston était plein se jour là. Tout le monde était venu admirer les jeunes prodiges, s'affrontant pour décrocher leur place à la prochaine coupe du monde. Norman ainsi que son frère Nesta étaient arrivés en finale et s'apprètaient à courrir la course de leur vie.

Les deux frères étaient placés côte à côte sur la piste, près à surgir des starts. On entendit une détonation et c'était parti, huit jeunes jamaicains avaient bondit et étaient lancés à toute vitesse vers la victoire. Comme lors des courses précédentes, le suspens ne fut pas bien long. Au bout des 20 premiers mètres, Nesta et Norman étaient déjà largement devant leurs concurants, véritablement au dessus du lot. Cette course ne fut finalement qu'une promenade de santé et les deux héros la finire main dans la main, le visage rayonnant.

Immaginez la joie à Treasure Beach, à la ferme des Manleys. Pour la première fois, deux d'entre eux avaient la possibilité de devenir des stars internationnales avec outre la popularité, l'espoir de pouvoir offrir une vie meilleur à tous. La fête fut belle et l'espoir était grand vu l'étonnante facilité avec laquelle les garçons avaient dominés les sélections. Gràce à l'argent remporté, toute la famille s'envola pour Paris quelques mois plus tard pour pouvoir assister aux championnats du monde d'athlétisme.

Les manleys arrivèrent à Paris le 15 mai 2011, une semaine avant le début de la compétition. La mère et les quatre filles profitèrent de ce temps pour aller flanner dans les boutiques et découvrir cette ville que l'on dit si merveilleuse. Les garçons eux, gonflés à bloc, ne perdirent pas une minute et se mirent en quète d'un terrain d'entraînnement pour être prets le jour J.

Ils finirent par trouver un complex sportif en banlieu parisienne oû il restait une demie piste de libre, largement suffisant pour ces hommes qui avaient connu la débrouille toute leur vie. Norman et Nesta s'entraînèrent donc au milieu des autres athlètes, des basketteurs, des cyclistes et de nombreux autres sportifs, tous rassemblés par le même amour du sport.

Le deuxième jour, alors que Norman travaillait son départ coacher par son père, quelque chose d'étrange l'interpela. En effet, les manleys avaient tous remarqués ce bruit bizare, inconnu, qui résonnait dans tout le complex. C'était un son lourd, qui se répétait sans arret à intervales réguliers. Trop intrigué par ce phénomène, Norman décida de partir voir ce que cela pouvait bien être.

Il traversa la piste et se dirigea en courant vers la source du bruit. Arrivé sur les lieux, le jamaicain s'arrêta net, émerveillé par le spectacle qui se jouait sous ses yeux. Deux garçons d'environs son àge étaient postés face à face sur un terrain de terre battue et se renvoyait une balle à l'aide d'un objet étrange que Norman n'avait jamais vu de sa vie. La vitesse du jeu, la puissance des joueurs et l'intelligence de certains coups impressionnèrent l'étranger.

Une heure plus tard alors que Norman n'était toujours pas revenu, son père commença sérieusement à s'inquièter et décida de partir à sa recherche. Non loin de là, il le trouva sur le terrain, une raquette à la main. Quand le jeune homme apperçut son père, il se contenta de lui crier ces quelques mots: "C'est ça que je veux faire papa, oui c'est ça!"

Norman Manley était littéralement tombé amoureux du tennis. Dès l'instant oû il avait découvert ce sport, il ne pouvait plus s'en passer. A une semaine des championnats du monde à la surprise générale, le jeune prodige jamaicain déclara forfait pour se consacrer à son nouveau rêve. Ces parrents furent extrèmement déçu d'autant que Nesta fut éliminé des les séries. Mais finalement, ils finirent par comprendre et accepter le choix de leur fils, rassurer par son entousiasme et son jeu qui s'améliorait de jour en jour à une vitesse impressionnante.

Initié par ces deux nouveaux amis français, Norman devenait chaque jour un meilleur joueur. Il compris très vite les mécanismes de ce sport et construisit en un rien de temps son propre jeu, sa propre tactique. Aidé par sa vitesse et son endurance mais handicapé par sa petite taille et son poids plume, Nesta était un joueur vraiment atipique. Il courait partout sur le terrain et montait au filet presque à chaque point. N'hésitant pas à plonger de tous les côtés, fesant des kilomètres à chaque match, le petit caribéen semblait vraiment très prometteur.

Les adieux avec sa famille forcés de rentrer au pays furent douloureux mais ce n'était qu'un au revoir. Et puis le jeune homme laissait ses parents partir plein d'espoir. Ils lui promirent de le regarder à la télé à chaque fois que ses matchs seraient diffusés. Sans perdre une minute, norman s'envola avec ces deux compères français vers le premier tournoi de sa carrière.

Ok merci beaucoup!

C'est parti alors...

Oups... j'avais fait une erreur sur ma nationnalité, j'ai donc édité mon sujet et oui je ne suis pas français, je suis bien jamaicain.

Ca serait bien de le modifié également sur ma fiche

merci et désolé pour cette faute d'inattention

Bienvenue !