[Thomas Tsonga] La vie d'un Tennisman Pro

1) Avant d'être devenu Pro ...

Thomas est né à Cherbourg la plus grande ville de la Manche, où se déroule 1 fois par an le Challenger de Cherbourg où de grands joueurs se sont élustrés (Nadal, Fédérer, Djokovic, ...). Thomas est né dans une famille très modeste et à dut beaucoup travailler dans sa jeunesse en même temps que de faire du tennis et d'aller à l'école, qu'il ratait souvent d'ailleurs ... Il avait 5 ans quand il a commencé le tennis, cela lui plaisait beaucoup et à donc décider de continuer, ses parents travailler de plus en plus dur et finirent par gagner mieux leur vie avec encore un peu d'aide de leur fils. Un jour à l'âge de 13 ans, alors qu'il venait de gagner son 14ème tournoi de toute sa carrière de Tennisman, un homme vient le voir et lui dit:

"Salut, mon grand, j'ai t'es vu jouer tu joues très très bien"

"Bonjour, merci beaucoup Monsieur"

"Sa te dirai de prendre des cours particulier avec moi, je suis l'un des meilleurs entraineurs de la Région, je m'occuperai de tout, de t'inscrire aux tournois, t'acheter de nouvelles raquettes quand tu en aura besoin, mais faudra que tu me paye quand même. Mes tarifs sont corrects pour ce que je fais."

"Je vais voir ça avec mes parents, ils ne vont pas tarder à me reprendre. Mais je serai très intéresser.

A ce moment, les parents de Thomas rentre dans le grand hall. L'homme se présente, il s'appelait Lionel Dumont. Il leur expliqua tout ce qu'il m'avait raconté et mes parents acceptèrent puis on est repartit.
Ils me racontèrent ce que leur avait dit mon futur entraineur:

"'Tu auras 4 entraînements par semaine, il t'inscrira aux tournois et t'achètera de nouvelles raquettes quand tu en auras besoin mais sa cûte très cher 110€ par trimestre, ce n'est pas rien, il va falloir que tu nous aide."

Et bien sûr, j'ai accepter de les aider. Je faisais des petits boulots le Week-End et la fin je pouvais même me payer des accessoires en plus pour le tennis !
Mais un jour, quand j'allais bientôt avoir 16 ans, il me dit:

"Tu progresses vraiment vite, il faudrait que tu passes Pro ! Je te ferai tout ce que auras besoin, sans que tu me payes. Mais il faut partir à 500 km d'ici ..."

"Tant pis ! J'irai quand même, on pars quand ?"

"Oulah ! Calmos ! On part dans deux jours, mais il faut que tes parents soit d'accord ..."

"Je leur demande ce soir."

Et le soir même, mais parents acceptèrent à condition que je vienne les voir un Week-End sur deux, et j'accepta.
Et ce fût là que ma carrière commença !

2) Ma vie

Comme tous les jours maintenant, j'allais m'entrainer les matins de 9h à 11h30 avec mon entraineur. On commencé pendant 1/2 heure de course puis on enchaîner avec 1 heure de coup droit / revers et puis on terminai avec 1 heure de match, le plus souvent je fesais un set (et bien sûr je gagnai ).
Mon entraineur me disait comme chaque fin d'entrainement:

"Tu progresses continu, mais pour le match je t'ai laissais gagner"

Mais bien sûr, je ne le croyais pas, car je voyais bien qu'il transpirer de partout.
Mes parents me récupérèrent et on rentra chez nous. On venait d'aménager il y a pas plus de 2 mois et je ne connaissais personne. Je n'allais plus à l'école et je n'aidais plus mes parents à travailler car ils sont réussit à trouver un meilleur boulot.
Une nouvelle vit recommençait pour moi. On habitait en Bretagne, là où vivait mon entraineur. Quand il m'avait vu jouer il était venut pour trouver de nouveaux jeunes comme moi et il m'a trouver. Quand je sortis de la voiture, une voix de derrière moi m'interpela dans mes rêves:

"Salut !"

Je me retourna et je vis un mek qui avait à peu près mon âge, il était blond, de taille moyenne et assez maigre.

"Salut ..."

"Tu es nouveau par ici, je t'ai vu il y a 2 mois aménager ici mais depuis je n'avais pas pu te revoir. Tu fais quoi pour ne pas que je te vois ?"

Un moment, j'ai hésité à l'envoyer chi** mais je lui est répondu sympatiquement car c'était la première personne de mon âge qui s'intéressait à moi ici.

"Je suis pro de tennis depuis le début de l'année et je m'entraine tous les jours, le matin et quelques jours l'après midi."

"Ah cool ! Moi je suis plus foot mais bon j'aime bien aussi le tennis ... Tu as quel âge ?"

"16 piges et toi ?"

"15 mais j'vais prendre 16 en fin d'année"

"Bon j'te laisse, faut que j'ailles prendre ma douche, a plus ! Au fait comment tu t'appelles ?"

"Antoine et toi ?"

"Thomas, allez bye !"

"Bye !"

Quand je finis ma douche, des Spaghettis "Bolo" m'attendaient sur la table. J'adorais ça et j'allais me régaler !

Aujourd'hui j'avais décidé de sortir seul, dans l'après-midi, je me suis promener sur les côtes de la Bretagne pour me changait les idées. Quand soudain, j'entendis des cris venant de derrière moi:

"Au secours, aidez moi !"

Je me retourne brusquement et là je vois une femme d'une cinquantaine d'années se faire attaquer par un mec cagoulé avec une sorte de barre en fer dans la main en train de voler la femme

"J'arrive, m'dame"

"Ta gueu** toi !"

L'homme me pointa son arme, il avait l'air ridicule. Ensuite, je mis un coup de pied dans sa pitoyable arme et je le claque contre le sol. Immobile contre le sol, le mec hurler de douleur car je lui faisait une clef de bras. Quelques secondes après, je le lacha. Il resta au sol dans la même positon où je l'avais plaquer. La femme avait déjà appellé les flics et elle me dit qu'ils ne devaient pas tarder à arriver.
Le mec qui saigné réussit à dire:

"P'tit salopard"

"T'étais vraiment pitoyable avec ton arme, j'ai eu peur tu sais"

"Ta gueu** ..."

"En tout cas, merci mon garçon. Tiens pour m'avoir secouru."

La femme me tendit un billet de 10€, je la remercit et je le mis dans ma poche. Puis je regardis, ma montre, elle affichait 17h53. Mer**, je devais me retrouver à 1km d'ici à 18h. Au loin, je vus les flics qui arrivaient. Alors, je dis à la femme que je devais y aller et je me mis à courir. Je courai assez vite et je réussis à arriver pile à l'heure et ma mère venait juste d'arriver. Et je me rendis compte que je saignais à mon bras droit et ma mère s'en aperçut.

"Que t'es t-il arriver à ton bras ?"

"Ah euh ça ... euh ... bah en fait en courant je me suis égratiné contre un murret car la route était hyper étroite mais bon ..."

"Ah d'accord ... bon sa ta fait du bien cette sortie ?"

"Ouais, c'était cool !"

Et la voiture redémarra pour notre maison, on avait 1/4 d'heure de route pour rentrer chez nous.
Et cette fois-ci, c'était "Hachi Parmentier" qui m'attendait au diner. Miam !

"Thomas réveille toi !!!"

Et mer**, j'avais oublié de mettre mon réveil à sonné le soir. Je le regarde et il indiquait 9h48 et il fallait que je sois à mon entrainement à 10h et en plus mes parents ne pouvaient pas me conduire car ils avaient un rendez-vous, je ne sais où ...

"Tu as 15 minutes de marche pour aller à ton entrainement et tu n'es même pas habillé, tu sais bien que Lionel n'aime pas quand tu es en retard"

C'est vrai, mais je ne suis jamais arrivé en retard ...

"Je sais ..."

Je m'habilla en 2 minutes et je pris 1 banane et une tartine de pain avec du beurre et je partis, j'avais 7 minutes pour arriver à l'entrainement et Lionel arrive toujours à l'heure, quand j'avais avaler ma tartine et ma banane je me mis à courir le plus vite possible mais je n'y arriver pas, la course de la veille m'avait tuer les pattes ... J'entendis une voix derrière moi:

"Hey Thomas !"

Je me retourna brusquemment et là je vus Antoine en voiture, Antoine je vous le rappelle, c'est mon voisin.

"Tu es en retard à ton entrainement ?"

"Ouais ..."

"Viens avec nous, c'est sur la route et mes parents veulent bien !"

"Ok, cool merci."

C'était un C4 Piccasso pas mal comme caisse ! Je suis arrivé avec 1 petite minute d'avance et Lionel n'était toujours pas là.

"Merci beaucoup m'sieur-dame."

"De rien mon garçon, si tu veux demande à tes parents si vous voulez bien mangez chez nous ce Week-End."

"Ok, je vais leur demander, merci. A plus Antoine, au revoir."

Et la voiture partit. 5 minutes plus tard, Lionel n'était toujours pas là ... Je commençais à m'inquiéter 10h10, 10h15, 10h20, toujours pas là ... Soudain mon téléphone se mit à sonner et sa me fit sursauter. Je regarde et je vois sur le portable: "Appel Entrant: Yoyo". "Yoyo", c'est le surnom que tout le monde donne à Yoyo. Je décroche:

"Allô ... ?"

"Bonjour, Thomas, je suis le frère de Yoyo, il ne pourra pas venir t'entrainer aujourd'hui, donc c'est moi qui assurera l'entraînement. J'ai longtemps entrainer mon frère pendant 1 dizaine d'années jusqu'à qu'il devienne meilleur que moi et là il à commencer à entrainer, mais bref ... je m'appelle Nicolas mais appelle moi Nico."

"Ok, Nico, tu arrives dans combien de temps à peu près ?"

"Tout de suite."

Et là, une voiture noire ce garre, une pas mal caisse un peu défoncer sur le côté et sort un mec d'une quarantaine d'années, grand et assez gros ... Il ne ressemblait pas du tout à son frère ...
On commença l'entraînement et je compris tout de suite pourquoi Yoyo était devenu aussi fort, il me tuer litéralement. On a commencé par 30 minutes de course rapide puis par une séance de 120 pompes et 150 abdos ... et on a enchainer par 100 coups droits / 120 revers car je suis moins bons revers il rectifié mes fautes, même si elles s'étaient minimes ... et on a finit par 2/3 exercices de reflexes et l'entraînement c'est terminé beaucoup plus tard que d'habitude. Et j'ai remarqué que mes parents avaient assistés à la fin de mon entraînement.

"Tu as bien bossé Thomas, j'aime bien travailler avec toi, a plus."

Je n'eu même pas le temps de prononcer un mot qu'il fut partit. Mais parents étaient au courant car Nico les avait prévenu eux aussi. Et ce midi au programme : "resto" ! Hummm ... j'ai de la chance avec les repas !

Je me suis levé à 11h30 car aujourd'hui pas d'entrainement. Yoyo m'avait téléphoné hier en fin d'après-midi pour me l'annoncer et il s'est excusé de ne pas avoir pu m'entrainer hier. Mon parents en ont profité car le samedi, ils ne travaillent pas. Nous sommes aller au ciné, voir "Camping 2" et on à était au "resto" pour finir cette belle matinée. Puisque mes parents avaient des trucs à faire pendant l'après-midi, j'ai était demandé à Antoine si il voulait bien sortir avec moi pour allez s'acheter des jeux vidéos en ville. Il à accepter et nous sommes partit. On avait 20 minutes de marche, mais bon sa fait du bien.

"Donc toi tu n'as jamais de vacances ?"

"Non ... à part comme aujourd'hui où c'est une journée de repos, mais c'est très rare."

"Ok, au fait ta quoi comme console ?"

"La PS2 et la PSP"

"Moi je suis pas trop fan des consoles portables, je préfère les consoles sur télé, donc j'ai une PS2 et une PS3. J'avais une DS mais je l'ai vendu pour m'acheter une PS3."

A ce moment, le magasin était en fasse de nous, on devait passer un passage piéton pour y aller quand soudain une main me toucha brusquement l'épaule droite !

"Salut, t'aurai pas du fric pour moi ?"

"Non !"

Et d'un mouvement brusque je lui dégaga sa main de mon épaule. Et là je me rendis compte qu'ils étaient plusieurs et quelques uns avaient des armes. Je dis discretement à Antoine:

"Casse-toi, je te suis !"

Antoine partit en courant et deux mec partirent à sa poursuite. Je les arrêta en me mettant en opposition et leur envoyant une patate à chacun, ils s'écroulèrent et je pris leur deux armes, d'était deux barres de fer très solides. Je rattrapis Antoine et lui donne une des deux barres. Il me remerciat et on repartit de plus belle. Les mecs nous suivaient toujours mais ils étaient à une cinquantaine de mètres de nous. Puis je vus à côté de moi, Antoine s'éfondrait par terre, je me retourna et là je vus deux mecs qui devaient être avec les autres co**. Je pris la barre de fer à Antoine et je frappa le premier qui esquiva et essaya de mon contre-attaquer mais j'esquiva et lui envoya mon poing dans sa gueu**. Il tomba par terre en pissant du nez. Le 2ème voulut enchainer mais quelque chose le retint, c'était Antoine qui lui prenait le pied, il ne pouvait plus bougés, je lui envoya une barre de fer dans la gueu** aussi et s'écroula à son tour. Antoine put se relever et je lui rendit son arme. Nous avons réussit à trouver un taxi qui se font rare et à rentrer chez nous, on avait payer pas beaucoup mais on n'avait pas pu acheter de jeux ...

Il était déjà 17h20 et je devais aller goûter, miam ! J'adorai toujours prendre un goûter sa me m'était d'aplomp pour la fin de la journée. En rentrant mon père me demanda:

"Alors vous, vous êtes bien amuser ?"

"Ouais, c'était trop bien !"

"Vous avez fait quoi ?"

"Oh pas grand chose, mais c'était cool."

On attendit la sonnette de porte d'entrée sonnée, je pus distinguer de personne aussi grande que mon père donc de taille moyenne environ 1m75.

"Thomas, on veut te parler ..."

Je ressentis dans la voix de mon père de la peur et je n'aimais pas ça. Je me dis: "Puta**, que-ce que j'ai encore fait ?"

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