[Da Silva] Des informations troublantes...

Alors que vous vous déplacer en ville pour vous rendre au tournoi de la New generation's Cup, un étranger vous accoste dans la rue. Il porte des haillons sales et puants, et un pantalon déchiré. Il ne doit pas peser bien lourd, et ne constitue pas une réelle menace.

"Une piécette s'il vous plait !"

Vous le regardez d'un air navré, et dégouté à la fois, puis vous en allez. Alors que vous êtes déjà à 3 mètres de ce mendiant, vous l'entendez marmonner...

"Pff, Radin..... Il ne ressemble vraiment pas à sa mère celui-là..."

Vous vous retournez, mais il semble avoir disparu...

Que faites-vous ?

Je me baladais dans les rues de Genéve aprés ma belle victoire sur un certain Kieven je crois, je n'avais gagné que sur terre battue mais avait dû concéder la défaite sur dur alors que le match était accroché, autant dire que c'était pas le jour pour me faire chier. Aprés avoir fait le tour du quartier, je décidai de retourner vers le centre du tournoi lorsque qu'un immonde mandiant commença à m'importuner:

-"Une piéce s'il vous plait !"

J'ai horreur de ce genre de personne, ce sont des taches pour la société actuelle, il se laisse aller et compte sur les gens qui les entoure pour s'en sortir, j'ai un profond dédain pour ces personnes. Pourtant c'est pas l'argent qui me manque, je pourrais faire des gestes carricatifs parfois mais je n'en ressens pas le besoin. Enfin ce minable avorton me dégouté, je passais mon chemin en lui faisant bien comprendre que sa vie ne m'intéréssait pas et qu'il était une vraie Palsembleu à mes yeux. Alors que je ne me trouvais qu'à seulement quelques mêtres de lui, il marmonat:

-"Pff, Radin..... Il ne ressemble vraiment pas à sa mère celui-là..."

Surpris par cette phrase, je me retourna immédiatement, qu'est-ce qu'il venait de dire? Ce mendiant connaîtrait ma mére non mais c'est pas possible, puis ma mére est toujours rester au Portugal pourquoi quelqu'un de genéve l'a connaîtrai. Peut être que ce mendiant était Portugais, c'est vrai que sa voix avait peut être un petit accent. Il fallait que je le retrouve mais à peine il avait laché cette bombe qu'il s'était enfui, en tout cas il n'était plus là quand je m'étais retourné. Quoi faire, il y avait un monde fou dans la ville et il pouvait être n'importe où, cependant j'avais de gros soupçons sur la rue paralléle mais ça sentait le piége à plein nez. Et si ce n'était qu'une ruse de mes adversaires pour me destabiliser et que dans cette rue des loubars m'attendaient pour me péter les genoux, je suis un phénoméne et les gens peuvent dêja m'en vouloir. Cependant la tentation était trop forte, je ne savais rien sur ma mére et je ne pouvais pas laisser passer l'occasion d'en savoir plus sur elle. N'écoutant que mon coeur(hé oui j'en ai un), j'entrat dans cette sombre impasse en criant:

-"Je sais que tu es là, montre toi et assume tes paroles! ".

Vous attendez, seul, dans cette ruelle sombre et inhospitalière d'une ville étrangère dans un pays dont vous ne connaissez même pas la langue. Personne ne se montre. Vous êtes déçu, et énervé. Cependant au moment de partir, vous retrouvez un petit papier sur le sol. Il y est inscris l'adresse du tournoi que vous êtes en ce moment même en train de disputer ! Au dos se trouve cette incription :

Gagner ou connaître la vérité, il faut choisir !

Vous êtes troublés par cette phrase, et vous rendez à votre match de cet après-midi. En entrant sur le cours, vous regardez le public. *Il doit s'y trouver, forcément* pensez-vous.

A t-il vraiment des informations sur votre mère ou bien souhaite-il juste que vous perdiez ce match ? Que faites-vous ? Essayez-vous de gagner le match ou bien faites exprès de perdre ?

[Attention, le résultat du match sera bien celui du tournoi amical lors de la 3ème journée, et essayer de le gagner ne signifie pas que vous le gagnerez...]

J'entrai sur le court avec ce mot bien présent dans ma tête, je pensais même que ce minable mendiant devait s'y trouver et même si il eu la chance de connaître ma mére, il n'a jamais dû me cotoyer parceque s'il savait qui j'étais il ne m'aurai jamais poser ce stupide diléme. Je suis un tennisman de haut vol et je n'ai aucune envie de perdre un match, je n'ai qu'une chose en tête la victoire et ce type me donne une raison suplémentaire de gagner, la victoire il n'y a que ça de vrai, la vérité ne peut être que décevente, autant que je garde l'image idéaliste que j'ai pour ma mére et que je dérouille mon adversaire aujourd'hui pour prouver que je n'ai qu'une idée en tête écraser toute concurence. La thése du piége reste d'autant plus d'actualité, cela peut même venir de mon adversaire du jour, bien sûr c'est sûrement cet illustre inconnu qui a voulu faire ça pour tenter de glaner la victoire contre moi, quel petite peureuse, si il croit gagner ce match par cette maudite ruse, il n'a aucune chance, attend je vais lui faire passer le message, alors que le match allait bientôt commençait je fis rapidement passer le message à mon adversaire:

-"Hé mec, je vais complétement t'écraser aujourd'hui! ''

Je rejoignat mon côté en souriant, je n'avais qu'une chose en tête lui mettre la plus grosse rouste de sa vie, j'avais une vengance à prendre sur cette petite tête de piaf qui m'avait fait douter de moi, maintenant la vérite je n'en avais cure, la seule chose qui m'importait c'était la victoire lors de ce match.

Vous vous avancez sur le terrain avec la ferme intention de gagner ce match. Mais tout ne se passe pas toujours comme prévu. Alors que vous commencez à servir, vous remarquez un homme, au premier rang de l'autre côté du stade. Vous le reconnaissez bien, car c'est le mendiant qui vous demandais une pièce dans la rue. Il porte cette fois-ci une veste plutôt classe. Il porte dans sa main une photo de votre mère, et vous adresse un sourire provocateur. Vous n'y tenez plus, vous êtes déconcentrez et jouez sur dur, qui n'est pas votre surface favorite. Vous n'arrivez pas à jouer de votre meilleur niveau, et de son coté votre adversaire que vous avez provoqué est bien déterminé à vous montrer que ce n'est pas si facile avec lui. Finalement, l'inévitable arrive, vous vous prenez une grosse pilule. 6-0, 6-0, 6-1

Démoralisé, vous allez en direction de cet homme, qui semble satisfait de ce qu'il a vu. Vous avez plusieurs questions en tête.

Que lui demandez-vous ? Sur un ton amical, énervé ?

[match simulé comme un match normal, pas de chance ^^']

Je venais tout simplement de me faire éclater par mon adversaire, dêja que je n'apprécie pas cette surface, en plus il y a avait ce guignol qui était encore présent. Il m'avait complétement déconcentré lors de mon match, je n'étais pas du tout dedans en prouve la féssé que m'avait infligé mon adversaire. Cet homme se tenait devant moi, il semblait trés heureux et avait le sourire au lévre, j'allais en son encontre avec la rage d'avoir perdu à cause de lui. Alors que le stade était à peu prés vide et qu'il n'y avait plus grand monde, j'attrapa violement par le cou ce sale mendiant en lui disant:

-" Tu as bien pris ton pied mec, je viens de me faire démolir sur le court à cause de toi alors maintenant si tu as quelques choses à dire parle vite avant que je te démolisse à ton tour. Alors dit-moi qu'est ce que tu me veut et d'où tu connais ma mére toi? Et explique moi un peu qui tu es pour osé me parler à moi et me déstabiliser de cette façon?"

Le mendiant sembla tout à coup très fragile. Ses bras qui sortaient de sa veste étaient vraiment maigres.Son coup oscillait d'avant en arrière au fr et à mesure que vous le secouez. L'homme semblait sans défense. Il essaya néanmoins de répondre :

"Arrêtez... En fait... c'est quelqu'un qui m'a payé... pour vous dire... cela !"
"Parle !! Qui était-ce !! Parle !!"
"Je... Aah.. Je ne... aaaah"

De plus en plus secoué par vous, l'homme sembla trembler un peu, puis se tenant la poitrine, s'effondra dans un cri silencieux. Il faisait une crise cardiaque ! Vous regardez un peu autour de vous, et vous remarquez un journaliste qui était resté là et semblait avoir filmé toute la scène de loin. Celui-ci appela les secours qui ne tardèrent pas à venir. Mais le mal était fait. L'homme était entre la vie et la mort à l'hôpital, une vidéo de vous secouant un pauvre mendiant circulait aux informations, et vous n'étiez toujours pas plus avancé... vous allez être obligé de donner une conférence de presse dans les prochains jours pour expliquer vos actes, et il vaudrait mieux y aller avec des réponses et des noms, pour ne pas vous faire laminer par les journalistes. Les seuls indices que vous avez : le bout de papier avec l'écriture présumée de celui qui vous veut tant de mal, et ce mystérieux journaliste qui était resté dans le stade pour vous filmer. Mais vous ne l'avez pas bien vu, et ne connaissez pas son nom.

Que faites-vous ? Pour votre intérêt, il vous faut résoudre ce mystère rapidement !

Alors que ce mendiant m'avait claqué entre les mains, j'étais toujours dans la même galére, sa vie ne m'intéréssait guére qu'il créve il m'avait fait perdre un match. L'opinion public c'est pareil, je l'ai juste un peu secoué si il meurt ça n'a pas d'importance pour moi, la seule chose qui hantait mes pensées c'était retrouver la fameuse personne qui avait payé ce stupide clochard. Cette vidéo amateur du journaliste ressemble étrangement à un énorme coup montée pour ruiner ma carriére, j'étais en proie au doute, il me fallait des réponses, il fallait que je retrouve ce maudit journaliste. Je n'avais qu'une seule chose à faire, appeler les informations pour savoir qui avait vendu le film aux informations mais je me doutais bien qu'il n'allais pas vouloir me les donner pour proteger leur source. C'est alors qu'une idée machiavélique me passa par la tête, j'avais entendu dire que le fameux mendiant était entre la vie et la mort à l'hopital central de Genéve, la solution du probléme se trouvait là bas, evidemment que le soit-disant journaliste avait du donné son nom à l'hopital lorsqu'il a appelé pour l'ambulance. Mon plan se mettait en place et je n'avais plus qu'a passer à l'acte, petit soucis je ne connaissais pas son nom à ce mendiant comment faire pour pouvoir avoir des informations sur lui si je ne connais pas son nom, bon va falloir la jouer fine. Je faisais le numéro de l'hopital de Genéve pour tenter d'arracher le nom du témoin:

-"Oui bonjour, je suis le fils de la personne étant arrivé ce match pour une crise cardiaque, vous savez l'homme un peu maigre qui a eu ce malaise lorsque un joueur de tennis sans vergogne s'en est pris à lui. Je voudrais savoir si ça serait possible d'avoir le nom de la personne qui a prévenu les urgences pour le remercier en personne d'avoir fait cet acte de générosité, je sais que n'avez pas l'habitude de faire ça mais je lui doit peut être la vie de mon pére donc vous devez comprendre que j'ai envie de lui exprimer ma grattitude."

J'attendais avec impatience que la secrétaire me réponde, en éspérant qu'elle me donne le nom de ce fameux journaliste.

La secrétaire qui reçu l'appel paru surprise.

"La crise cardiaque de ce matin ? Ah ! Vous voulez parler de ce charmant monsieur qui a appelé les secours ? Je ne connais pas son nom, mais de toute manière il est encore dans nos locaux, aux cotés de.. votre père vous dites ? Bizarre, nous n'avons trouvé aucune trace d'un fils dans son dossier médical...CLONC"

Il ne vous en fallait pas plus. Après avoir raccroché, vous décider de vous rendre à l'hopital. Mais d'abord, il vous faut échaffauder votre plan...

La liste des objets dans votre chambre d'hotel est la suivante :
-Raquette de tennis
-Costume sombre et glauque
-Maillot de Tennis
-magnétophone
-Appareil photo numérique
-téléphone portable (pas de vidéo / photo)
-150 francs suisses
-Carte vous donnant accès aux cours de tennis du tournoi
-dictionnaire franais (vous ne parlez pas la langue !)

Sachant que vous ne pouvez prendre que 3 objets en plus de votre tenue, que prenez vous ? qu'allez vous en faire ?

[Je choisis le costume; téléphone portable; le magnétophone et l'appareil photo.]

Je sortais pour aller à cet hopital, j'avais échaffauder un plan digne des plus grands polars, j'avais tout prévu dans ma tête et c'est moi qui allait à mon tour piéger ce fameux journaliste, j'en suis sûr qu'il est dans le coup, à savoir même si il est bien journaliste et pas agent ou parent d'un joueur que je dois jouer. Il va me falloir jouer de ruse pour le piéger, il est malin et avait tout prévu, je sais maintenant que je suis victime d'un coup montée et je compte pas me laisser piéger comme un ane, je vais réagir et ça va faire mal. Plus je réfléchit, plus je pense que j'ai eu tord de m'en prendre violemment à ce mendiant en public, je savais qu'il y avait un risque qu'il y ai un temoin, j'aurai du l'enmener à l'abris des regards, j'ai fait une erreur enfin aller savoir si il y a vraiment eu une crise cardiaque, il faut que je doute de tout et que je fasse confiance à personne dorénavant. J'arrivai enfin à cet hopital, peut être que j'allais pouvoir me sortir de cette affaire grace à cette secrétaire trop bavarde. Il me fallait maintenant trouver sans me faire remarquer la chambre de ce mendiant et ainsi pouvoir parler à ce journaliste. La secrétaire pouvait voir d'où elle était la chambre vu qu'elle savait que le journaliste était encore là, j'avais remarquer l'emplacement de son bureaux, il n'y avait qu'une seule chambre possible vu sa place, je pensais savoir maintenant où il se trouvait, je devrais passer inconito avec ce costume, je vais prendre une mine endeuillé pour arriver jusqu'a la chambre et encore une fois me servir de mon intéligence supérieur. Avec mon téléphone portable je composa le numéro de l'hopital, pendant que le téléphone sonait et que la secrétaire répondit, j'en profita pour passer devant elle sans qu'elle s'en apperçoive. Avant d'ouvrir la porte de la chambre, je pris le magnétophone et le garda dans ma main, j'ouvris la porte de la chambre et me présenta dans celle-ci avec mes deux mains dans le dos dont une qui contenait le magnétophone qui était bien sûr en marche pour pouvoir enregistrer la discussion. Ils étaient bien là tout les deux, je les regardai fou de rage et je leur mis à leur dire:

-" Mais que me voulez-vous et pourquoi m'avoir piéger comme cela? Maintenant votre coup réussi vous devez être heureux, je passe partout dans la presse comme un tueur dorénavant ma carriére est surement fini, dites moi au moins la vérité."

J'éspérais que ce journaliste allait me prendre de haut et me dire ainsi la vérité, mon magnétophone n'en loupera pas une miétte.

L'homme assis à coté du malade regarda celui qui venait entrer. Il était d'un age moyen (40-50 ans), et semblait presque triste. Il vous regarda d'un air pitoyable, puis s'expliqua.

"Je... Je suis désolé. Tu ne me connais surement pas, pourtant moi je te connais. En fait, j'ai longtemps connu ta mère. De très près si tu veux tout savoir. En fait, j'étais amoureux d'elle. Je comptais l'épouser... et puis ton père est arrivé. Ta mère est tombée amoureuse, m'a quitté pour lui. Je ne m'en suis jamais remis. Je me suis mis à la haïr... à force de l'aimer... Et puis tu es né, et j'ai eu l'impression que tu aurais du être mon fils et pas celui de ton père... Et ta mère est morte. Puis ton père. Je suis resté dans l'ombre, et quand tu t'es mis au tennis, ce fut la goutte d'eau qui fit déborder le vase ! En effet, j'avais rencontré ta mère dans le club de tennis ou je jouait. Je n'en pus plus, et je décidais de finir définitivement ta carrière, car je ne pouvais plus le supporter, j'aurais fini par me suicider. Alors j'ai monté ce coup. J'ai abordé un mendiant dans la rue, et je lui ai promis de l'argent en échange de son aide. Ensuite j'ai appelé un journaliste pour qu'il vienne assister au match et vous film en train de perdre et de vous défouler sur un pauvre homme malade. Mais... je n'aurais jamais pensé que Pierre aurait pu faire un arrêt cardiaque... le pauvre... Mais bon, maintenant c'est trop tard pour moi. Quand je vous ai vu entrer, j'ai appelé la police. Elle ne devrait plus tarder."

Vous êtes déconcerté par cet aveux. Veut-il se repentir ? Vous n'avez pas bien compris

"Vous avez appelés la police... pour vous ?"

"... Vous n'avez pas bien compris. C'est trop tard pour avoir des remords ! Après votre acte, vous avez eu une interdiction de l'approcher à moins de 50 mètres. La police va vous arrêter, votre carrière est finie. Tiens, la voilà !"

Vous n'avez même pas le temps de protester, la police vous saute dessus. Le mégnétophone vous est enlevé, mais reste intact, avec la conversation enregistrée. Vous êtes emmené en garde à vue. Vous n'arrivez pas à réagir après tout ce que vous venez d'entendre. Bien sur, vous avez des preuves, mais rien n'est encore joué...

Vous êtes emmenez en cellule. Vous pouvez faire appel à un avocat, ou tenter de vous évader, ou donner un coup de fil. Que faites-vous ?

J'étais assis pour la premiére fois de ma vie dans une cellule, je n'avais jamais commis de délit auparavant mais cette histoire est complétement folle même moi je n'ai jamais imaginé rencontrer un malade dans son genre. Heureusement pour moi, les flics avaient pris le magnétophone, il était dans mes affaires et j'avais donc la preuve que j'étais victime d'un énorme coup monté, il me fallait seulement trouver le moyen de sortir de prison pour pouvoir m'entretenir avec le chef de la police et la presse, je veut que le monde connaisse la vérité, je voulais avoir une plus grosse couverture médiatique, je crois que je vais être sous les feux de la rampe pendant un long moment aprés cette histoire. En y repensant, il a vraiment un grain ce type tout de même, qu'est ce que je m'en fou ce qu'a fait ma mére avec ses fesses avant de rencontrer mon pére, sans déconner y'en a ils ont des problémes mentaux. Enfin bon, pour régler son compte à ce grand malade, il me faut sortir de là et pour cela j'ai un plan. Le seul moyen de sortir et de rencontrer le chef de la police c'est que quelqu'un d'important de Genéve m'aide, et j'avais dans mes contacts la personne idéal pour ça, l'organisateur du tournoi New Generation's cup qui m'avait contacté pour participer à celui-ci. Je demandais alors aux policiers de pouvoir passer mon coup de fil, je n'avais plus qu'a espérer qu'il réponde et qu'il accepterai ma demande, je composais le numéro et je l'entendis à l'autre bout du téléphone, je lui exposa alors ma situation:

- "Bonsoir monsieur, c'est Damien Da Silva au téléphone, vous devez avoir eu vent de mon affaire aux informations donc je n'ai pas besoin de vous expliquez l'histoire depuis le début. Aujourd'hui on m'a tendu un piége pour que ma carriére soit brisée, j'en ai la preuve, elles sont dans mes affaires que la police garde. Car je suis en prison et c'est pour cela que je vous appel, j'ai besoin que l'on me sorte de prison et de rencontrer le chef de la police pour lui montrer que je suis innocent, je sais que tout seul je n'y arriverai pas et que j'ai besoin de vous. Je sais on ne doit pas vous demandez ça tout les jours mais quel mauvaise réputation pour votre tournoi d'avoir un participant forfait car il est en prison, sachez que j'ai la preuve de mon innocence et que tout cela n'est qu'un complot, immaginez la publicité autour de votre tournoi, immaginez l'affluence pour les journées à venir en sachant que l'éspoir portugais Damien Da Silva celui qui fut victime d'un coup monté pour détruire sa carriére participe à celui-ci. Et n'oubliez pas la publicité que je vais vous faire lors de ma conférence de presse sur cette histoire, ce tournoi fera l'événement chaque année aprés cette affaire, alors je pense que c'est dans nos intérets à tout les deux que cette affaire se régle, venez et vous ne serez pas déçu par la suite."

L'organisateur du tournoi raccrocha et réfléchi un moment. Il décida d'aller voir ce qui se passait. Arrivé au commissariat, il demande à voir ce magnétophone et l'écouta. En effet, le preuve était faite que c'était un coup monté ! Simplement Da Silva s'était mis dans une situation délicate... Il faudrait qu'il convainque à la fois les journalistes, les téléspectateurs et la justice de son innocence. Eti l restait encore plusieurs points négatifs, même insignifiants, qui gênaient la populace. Quelle mauvaise pub qu'un homme qui ne donne rien à un mendiant, le poursuit pour le frapper, le bouscule alors qu'il est sans défense à l'abris des regards, et s'approche de lui avec une interdiction de s'approcher à moins de 50 mètres... mais même en négatif, ça rapporterait de la publicité au tournoi... L'organisateur réfléchi, puis alla voir Da Silva :

"Ecoute petit, tu m'as mis en même temps que toi dans une situation délicate ! Alors voilà ce que je te propose. Je paye ta caution, et toi en contre-partie tu me fais une conférence de presse incroyable, ou tu vanteras les mérites de mon tournoi au moins 2 fois, et ou tu te disculpera entièrement de cette affaire. Attention, tous les journalistes seront des vautours ! Si tu t'en sors bien, tout ira bien. Sinon je te lâcherai et tu sera déclaré forfait au tournoi, et je déclarerai publiquement n'avoir aucun rapport avec toi."

Vous n'hésitez pas une seconde et acceptez. Maintenant, vous devez assurer !

Vous devez maintenant donner une conférence de presse ! Exprimez vous sur cette affaire du mieux que vous pouvez, donnez tous les détails ou n'en donnez pas trop. Disculpez vous totalement. Et n'oubliez pas, vantez le tournoi au moins 2 fois !

[Tu feras aussi les questions des journalistes, mais attention à ne pas faire des journalistes idiots et naïfs, je veux des questions percutantes et gênantes, sinon j'en rajouterai :P]

https://just-for-tennis.forumactif.com/le-coin-presse-f11/da-silva-des-explications-t109.htm#888

Vous mettez fin à cette conférence de presse pleine de rebondissements. Les journalistes s'en vont, satisfait de ce qu'ils ont entendus, mais un peu sur leur faim car finalement, il doivent bien avouer que vous n'êtes pas coupable. Les quelques journalistes qui ont tentés de vous déstabiliser repartent déçus, mais avec toujours en tête une idée négative de vous, car vous n'avez pas été très tendre avec eux. Vous êtes content d'en avoir fini avec cette histoire, car après tout ce sujet est particulièrement délicat pour vous. Néanmoins, vous en avez appris plus sur votre mère grâce à cet homme légèrement bizarre, et peut-être irez-vous le voir en prison pour qu'il vous parle d'elle. De son côté, l'organisateur du tournois est extrêmement satisfait de cette conférence de presse. Du spectacle, de la hargne, des débats engagés. Tout cela promet pour la publicité de son tournoi et il vous en remercie ! Toutefois, vous restez coupable d'avoir légèrement houspillé ce mendiant, et de vous être approché de lui malgré l'interdiction. Compte-tenues des circonstances cependant, votre peine ne sera pas très sévère...

Conclusion

-Grâce à toute cette publicité, vous faites la une des journaux de plusieurs pays ! On veut vous payer pour des interwiew, et vous êtes extrèmement satisfait de cette nouvelle situation : +3pts de motivation, +250€
-L'organisateur du tournoi est entièrement satisfait de votre prestation, et vous paye un petit bonus pour votre ténacité : +200€
-La plèbe vous acclame, et vous vois désormais comme quelqu'un qui s'est sorti d'une situation difficile. De plus, vous avez émue du monde avec l'histoire de votre mère ! Vous recevez des lettres, parfois loins d'êtres vides : +100€, +5pts de motivation
-Cependant, les tribunaux suisses n'ont pas oubliés cette affaire quand même. Vous êtes condamnés à un peine "symbolique" de 50€ d'amende et une journée de travail d'intérêt général : -50€, -1pt de motivation, 1 jour à enlever de votre calendrier (mettre TIG à la place de ce qui était prévu) ou vous perdrez 1 point de fatigue.

Finalement, cette histoire ne se termine pas trop mal pour vous, au vu du déroulement, ça aurait pu être pire !
+500€
+7 points de motivation
- 1 journée de travail

[Si tu veux répondre une dernière fois à ton RP pour clore celui-ci, tu peux, sinon je ferme de suite]

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