Parrain (s'il y en a un) : …
Avatar utilisé : Marc Rosset
Nom, Prénom : Strohli, Jacques
Nationalité : suisse
Âge : 20
Taille : 201cm
Poids : 88kg
Main Utilisée (Droitier, ou Gaucher) : droitier
Surfaces préférées : gazon, terre battue, indoor et dur
Biographie : Je suis né de parents enseignants : mon père était professeur de langues anciennes à Appenzell, et ma mère professeure de droit pénal à l'université de Lausanne. J'étudie les langues anciennes et le droit en plus du tennis aujourd'hui, car ils ont su me donner la passion de ces deux matières. Ma mère a rencontré mon père au cours d'un voyage à Appenzell qu'elle a fait pour en découvrir la législation, et elle s’est finalement installée dans ce canton, même si elle continuait à travailler à Lausanne. (Je sais, cela n'est pas très important). Mon père aimait beaucoup le tennis, et ma mère les sports d'hiver. Mon père m'emmenait souvent regarder des matchs de tennis. Son joueur préféré était Marc Rosset (maintenant, il aime beaucoup Roger Federer, qui est incontestablement meilleur, selon lui, que Marc Rosset, ce qui a été prouvé par les classements). C'est vers 2000 (j'avais 10 ans) que mon père, voyant que je commençais à ressembler un peu à Marc Rosset, et pensant donc que j’avais une chance de faire un aussi bon joueur de tennis que ce Rosset, m'a poussé à commencer à jouer au tennis. J'avais un peu le même style de jeu que Rosset, d'ailleurs. On disait que j'étais bon, et on continue à le dire. Une fois (je devais avoir quatorze ou quinze ans), j'ai gagné le tournoi organisé par mon club entre les jeunes d'Appenzell. Mon principal défaut de joueur s'est montré à cette occasion : je parlais tout à fait normalement avec la presse écrite et la radio locales (j’ai même plaisanté avec les journalistes et partagé un repas très agréable avec eux (eh bien oui, j’aime plaisanter, et surtout manger, même si cela ne se voit pas)), mais je n'ai pas réussi à parler devant les caméras d'une chaîne de télévision locale, c’est pourquoi je refuse de parler à la télévision, encore aujourd’hui.