Avatar utilisé : Sebastian Lavie.
Nom, Prénom : Chris Lindner
Nationalité : Nouvelle-Zélande.
Âge : 17ans.
Taille :1m80
Poids : 70kg
Main utilisée (Droitier, ou Gaucher) : Droitier.
Surfaces préférées : Dur, Gazon, Indoor, Terre Battue.
Biographie : (Très mauvaise, je sais.. )
Naitre dans une banlieue d'Auckland avec une raquette à la main ? Quoi de mieux pour envisager une carrière dans le tennis ? J'en aurais passer des épreuves pour en arriver où je suis, dominer l'envie dévorante de mon père de me voir un jour professionnel, faire le deuil de la perte de ma mère, accepter les contraintes d'un entrainement intensif..
Je suis tout sauf un jeune normal, je suis consciens d'avoir raté une bonne partie de ma jeunesse et de mon adolescence, mais je ne regrette rien. Ne pas sortir le samedi soir n'est qu'un détail lorsque le lendemain on remporte un énième tournoi jeune. J'accepte cet emploi du temps contraignant, car le tennis est ma vie, ma seule ambition. Je suis un jeune comme tout les autres, simple, calme, posé dans la vie, mais sur le court je suis un démon, la raquette vole, les cris se multiplient, la rage de vaincre me perturbe dans mon sérieux.
Mon ami de toujours est Sebastian Lavie, nous avons tout partagé jusqu'à son départ pour l'académie Mouratouglou, nous avons tout gagné ensemble. Champion en double de 10 ans à 15 ans, Champion par équipe depuis nos 12 ans jusqu'à 15ans, et champion national par équipe en adultes alors que nous n'avions que 16 ans. C'est un joueur fantastique, un excellent serveur qui n'hésite pas à prendre le filet avec sa volée monstrueuse. Moi, je tiens l'échange fond de court, je sais mettre de la puissance dans ma balle, et je n'hésite pas à monter dès que possible. Je n'ai pas un toucher de balle extraordinaire mis à part au service, j'ai plus de mal avec les surfaces en terre où je ne trouve pas mes marques. Aujourd'hui, j'ai pour objectif de mener mon pays à une place dans le groupe mondial de Coupe Davis, j'ai envie de gagner des tournois, de participer à des Grands Chelems, c'est pourquoi je me lance sur le circuit.